Une partie de notre histoire

Tout sur l'histoire et les anciennes gloires du Grand Chabab : palmarès, joueurs , club....

Re: Une partie de notre histoire

Nouveau messagepar amiraCRB » Mer Juin 10, 2009 8:48 pm

le chabab c toute une histoire
lah ybarak wa nchalah mazal el khir lkodem
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Re: Une partie de notre histoire

Nouveau messagepar belkac » Ven Mai 20, 2011 10:57 am

crbforever a écrit:


Après l'éclatante victoire du CRB face à la JSK par 7 buts à 1, et après avoir rendu la monnaie de la pièce jusqu'au dernier centime,après la défaite en 1/4 de finale . Jai décidé de publier l'histoire du CRB et qui n'est pas à son dernier. Mr Gamondi a dit dans une intrview que cette victoire va faire enter le CRB dans l'Histoire. Je dirai à mr Gamondi que le Chabab est un club Historique ,il a fait l'histoire et il en fait partie. (Mr Gamondi n'avait pas vécu les années fastes du Grand C R B, c'est normal ).


salem 3ami MOuh , trés heureux de te relire j’espère que tu vas bien
pour les propos des Mr Gamondi , croies moi ils ont étaient déformés par les ignares de journalistes qui veulent réduire le Chabab et son histoire au néant , car Mr gamondi connait trés bien la grande histoire du CRB car il s’était renseigné dés son arrivée chez nous
MR gamondi a dit aprés le match de la jsk : ''on est rentré dans l'histoire du CRB , avec cette victoire ''
et voila la vidéo qui le prouve , les déclaration du coach sont a la fin http://www.youtube.com/watch?v=ABsOixGOaxc&feature=player_embedded
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Re: Une partie de notre histoire

Nouveau messagepar crbforever » Ven Mai 20, 2011 3:11 pm

Oui c'est vrai Belkac, il n'y qu se référer au reporters du match Bouiche et l'autre ? qui ont voulu travestir la réalité par des commentaires bizarres.Ils voyaient des coups -francs et des pénalties partout, alors qu'il n'y avait rien.
Et ce sieur Belhout qui faisait son petit cinéma en se roulant parterre , une fois tenant sa tète et une fois tenant sa jambe et faisant semblant de boiter , il voulait faire arrèter la partie ,de peur que le score ne s'allourdisse .
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Re: Une partie de notre histoire

Nouveau messagepar merouane » Jeu Déc 22, 2011 4:30 am

Il a été inhumé hier à Oued Romane en présence d’une foule nombreuse
Le dernier adieu à Abdelkader Djenidi



le 22.12.11 |

Proches, amis et anonymes ont rendu un dernier hommage à Abdelkader Djenidi, hier au cimetière de Oued Romane, sur les hauteurs d’Alger.

Ce grand serviteur du football, qui a consacré sa vie à sa passion (le football), nous a quittés dimanche dernier à l’âge de 69 ans des suites d’une longue maladie. Tous ceux qui avaient tenu à l’accompagner vers sa dernière demeure ont, à l’unanimité, mis l’accent sur ses grandes qualités humaines, ses compétences en matière de football, son intégrité et son dévouement sans limite pour tous les footballeurs, entraîneurs et dirigeants qui le sollicitaient dans le cadre du ballon rond.

Sa disparition est une perte pour le football dans la mesure où il pouvait encore apporter beaucoup. Malheureusement, il n’a pas été très sollicité, il faut le dire, au cours de ces dernières années. Ce fin connaisseur du football a été à l’origine de l’éclosion de nombreux talents qui ont fait le bonheur des clubs et parfois de l’équipe nationale. Sa compétence en la matière était unanimement reconnue. C’est en partie grâce à lui que le CR Belouizdad, club de son cœur et dont il a porté les couleurs, est parvenu à revenir au premier plan, après l’époque dorée des Lalmas, Nassou, Hamiti, Djemaâ, Amar, Zitoun, Zerrar, Boudjenoun, Messahel, Kalem, Salmi, Achour…
Feu Rachid Herraïgue, alors président du CM Belouizdad, l’avait sollicité pour intégrer la direction technique du Chabab avec pour mission précise : dénicher des joueurs de talent et les faire venir au club.

Abdelkader Djenidi s’est, toujours, fort bien acquitté de sa tâche, comme l’ont souligné hier tous les joueurs, entraîneurs et dirigeants de ce grand club présents hier à Oued Romane. L’un d’eux, Hadj Merakchi, dira : «Avec la disparition de Abdelkader Djenidi, c’est un pan de l’histoire du Chabab qui s’effondre. Hadj Kader fait partie de la fabuleuse histoire du CRB. Des connaisseurs comme lui ne courent plus les rues. Sa disparition est une perte pour le CRB et le football algérien.» Ces propos résument parfaitement la pensée de tous ceux qui ont connu l’homme qui est parti sans faire de bruit. A l’image de ce que fut sa riche vie dans le football.


Adieu Hadj Kader
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Re: Une partie de notre histoire

Nouveau messagepar merouane » Mer Jan 09, 2013 6:11 am

CR BELOUIZDAD : Un cinquantenaire plein d'émotion et de succès

Evoquer le martyr de la guerre de Libération nationale Mohamed Belouizdad en ces cinquante ans d'indépendance de l'Algérie du joug colonial renvoie au mythique quartier éponyme d'Alger, avec ses vieilles bâtisses, son traditionnel marché de Laâquiba et son club de football, le CR Belouizdad, qui fête aussi cette année son cinquantenaire.

Dans la foulée des festivités marquant l'indépendance de l'Algérie, le 5 juillet 1962, un groupe de jeunes de Belcourt décida de fusionner les deux équipes du quartier, à savoir le Widad Riadhi Belcourt (WRB) et le Chabab athlétique Belcourt (CAB), donnant naissance au Chabab Riadhi Belcourt, premier club algérien indépendant. Il porta l'appellation de Chabab Belcourt jusqu'en 1991 avant d'être rebaptisé Chabab Riadhi Belouizdad, devenant ainsi l'unique club algérien portant le nom d'un chahid de la Révolution algérienne qui a versé son sang pour que vive l'Algérie indépendante.Un club qui a vu les meilleurs joueurs algériens défiler durant un demi-siècle de son existence, à l’image de Ahsen Lalmas, véritable icône du football algérien post-indépendance, Mokhtar Kalem, feu Ahmed Zitouni, Ouahdia Hassan Achou, Djillali Salmi, feu M'barek Chenane, les gardiens de but Mohamed Nassou et Mohamed Abrouk, Hamid Boudjenoune, Hocine Yahi, Djamel Menad, Mustapha Kouici, Belkacem Demdoum qui ont constitué la colonne vertébrale de l'équipe nationale d’Algérie durant plusieurs années. Parmi tout ce beau monde, un joueur sortait du lot, un stratège recruté de l’OM Ruisseau nommé Ahcène Lalmas, élu meilleur joueur algérien de l'histoire en 1993 par un panel de 350 techniciens, entraîneurs et joueurs algériens. Lalmas, qui a fait les beaux jours du «Grand Chabab» durant les années 1960 et 1970, a inscrit la bagatelle de 150 buts en championnats et 6 en trois finales de Coupe d’Algérie, ce qui fait de lui le meilleur artificier de tous les temps. Celui qui était connu sous le sobriquet d'«El-Kebch» (le bélier pour son jeu de tête) a été le seul joueur algérien à pouvoir gagner une rencontre à lui tout seul en marquant 14 buts au cours d'un match officiel, avec le maillot de l'OMR contre le club de Birtouta en éliminatoires de la Coupe d'Algérie (score final : 8-0). Il s'est même permis le luxe de battre le meilleur gardien de but de tous les temps, Lev Yachine, lors du match Algérie - Union soviétique du 4 novembre 1964 à Alger, alors que son équipe était menée 2-1 avant d'entrer sur le terrain à la mi-temps et d'égaliser d'un… coup de tête (score final : 2-2). Le «Grand Chabab» avec son attaque «mitrailleuse» truste les titres.

L'âge d'or du club belouizdadi

L'âge d'or du club belouizdadi fut durant la période 1963-1972, lorsque les Rouge et Blanc ont remporté 10 titres nationaux et régionaux : 4 championnats d’Algérie (1965, 1966, 1969 et 1970), 3 Coupes d’Algérie (1966, 1969 et 1970) et 3 titres de Coupe du Maghreb des clubs champions (1969, 1970 et 1971), avec, au passage, des scores fleuves comme les 8-1 et 8-0 contre le MO Constantine et Annaba lors de l’exercice 1965-1966. Cette saison, celle du premier doublé coupe-championnat et des 9 victoires de suite, est considérée par les Belouizdadis comme l'une des meilleures de leur existence avec une attaque percutante dite «mitrailleuse» qui avait à son actif 63 buts dont 18 pour le seul Lalmas. Une génération dorée qui a réussi à «placer» pas moins de 9 joueurs en équipe nationale qui a représenté l’Algérie à la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations 1968 (CAN-1968) à Addis-Abeba (Ethiopie). Après deux saisons en demi-teinte, le CRB revient au premier plan et remporte le doublé lors de l’exercice 1968-1969 avec, à la clé, cette mémorable victoire contre le NA Hussein-Dey en aller-retour (7-1 et 5-2). Puis vint cet historique triplé (le premier du genre en Algérie) à l’issue de la saison 1969-1970 avec, dans son armoire à trophées, le championnat, la Coupe d’Algérie remportée haut la main contre l'USM Alger (4-1) et la Coupe du Maghreb des clubs champions aux dépens du Club Sfaxien de Tunisie. Fait malheureux (ou anecdotique, c'est selon), les gars de Laâquiba avaient dû faire l’impasse sur la Coupe d’Afrique des clubs champions après les menaces des Sénégalais de Jeanne d’Arc contre les joueurs belouizdadis à l’issue du match aller remporté par le CRB (5-3) au stade du 20-Août 1955.

Passage à vide, relégation puis renaissance

La saison 1970-1971 fut celle du début du déclin d’une génération qui était à bout de souffle et n’arrivait plus à suivre le rythme imposé par la JS Kabylie et le MC Alger qui se sont partagé, à eux seuls, les neuf titres de champion d’Algérie mis en jeu entre 1972 et 1980. Les coéquipiers de Lalmas ont tiré cependant un dernier baroud d’honneur en brandissant pour la troisième et dernière fois la Coupe du Maghreb des clubs champions en 1971 face à l’Espérance de Tunis. Une fin de cycle traduite par une longue traversée du désert du club belouizdadi qui n’a gagné aucun titre entre 1978 et 1995, goûtant même aux affres de la relégation en 1988 et s’inclinant en finale de la Coupe d’Algérie contre l’USMA aux tirs au but malgré un riche effectif composé notamment d'Ammar Kabrane, Belkacem Demdoum, Hocine Yahi et Abdelkader Khodja. Même si le purgatoire n'a duré qu'une saison, le Chabab perdit considérablement sa notoriété pour n’occuper qu’un rôle de figurant en championnat, frôlant à plusieurs reprises la relégation. Après 24 ans de disette, le CRB, entraîné alors par Hamid Bacha, retrouve le chemin des consécrations en brandissant, dans un stade du 5-Juillet archicomble et coloré en majorité de rouge et blanc, la Coupe d’Algérie 1995 en battant en remontée l’O Médéa (2-1) grâce à sa doublette Mounir Dob et la tête d’or, Ishak Ali Moussa, qui ont renversé les gars du Titri. L’arrivée de Djillali Salmi à la présidence en remplacement de Mohamed Lefkir et le retour du regretté Mourad Abdelouahab à la barre technique sonnèrent la naissance d’une nouvelle génération de joueurs talentueux tels que Karim Bekhti, Fayçal Badji, Fadél Settara, Mohamed Talis et Ishak Ali Moussa, renforcés par Saïd Boutaleb et Brahim Arafat Mezouar, qui offrit au club deux titres de champion de suite (1999-2000 et 2000-2001) et une coupe de la Ligue, enlevée sans trembler le 19 mars 2000 contre le MC Oran (3-0) au temple olympique.

Les deux records du Chabab

Durant les deux saisons du sacre, le Chabab avait établi deux records : il a réalisé un carton plein à domicile, dans sa «cuisine» du 20-Août, lors du premier exercice et remporté 10 matches consécutifs avec Nour Benzekri comme entraîneur la saison suivante. L'ultime trophée belouizdadi remonte à 2009, lorsque le Chabab, drivé par Mohamed Henkouche, brandit pour la dernière fois la Coupe d'Algérie à Blida aux dépens du CAB Bou Arréridj qui a dominé les débats, mais s’est heurté à un gardien de but, Mohamed Fellah en l’occurrence, impérial sur sa ligne et qui a «écœuré» les attaquants bordjis durant la rencontre avant de se distinguer lors de la fatidique séance de tirs au but en arrêtant trois tentatives. «Le président de la République (M. Abdelaziz Bouteflika) m'a dit : ‘Mon fils, tu mérites deux médailles’», raconta Fellah, aux anges après la consécration. C’était la 6e et dernière couronne des gars de Laâquiba dans cette épreuve. Les Belouizdadis auraient aimé fêter leur cinquantenaire par une 7e Coupe d'Algérie dont ils ont atteint la finale face à l’ES Sétif en 2012, mais Dame Coupe a finalement choisi Aïn El-Fouara pour buvoter de son emblématique fontaine.

Par Abdelaziz Bouyakoub (APS)
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