Quel visage face à Sfax ?
Que doit-on faire à J moins quelques poussières d’un important rendez-vous, qu’est la coupe de l’UNAF des vainqueurs de coupe, laquelle vient juste après une humiliante défaite en championnat à Chlef ? Doit-on prendre notre mal en patience ou notre patience en mal ? Encore une fois, un amalgame de marionnettes provoquera un état de vertige aux milliers de fans qui attendaient avec impatience ce rendez-vous, croyant au retour du bon vieux temps où des «Hommes» avaient remportés ce titre trois fois de suite. Des hommes qui se battaient cœur et âme juste pour honorer les couleurs du pays et ceux du clubs sans se soucier des primes et des salaires. Bref, ce n’est pas le moment d’évoquer cette belle époque de peur que le mal qu’on a n’augmente davantage.
Les dirigeant, de même que le staff technique, si technique il y a, adoptent la solution de la fuite en avant, et ce en décidant que la reprise des entraînements soit à huis clos !! Ne dit-on pas que les hommes ne se cachent pas ? Alors…
Et c’est le même discours qu’on nous tient à chaque fois : l’arbitrage, la pression, les joueurs avaient la tête ailleurs… etc. C’est devenu caduc. Donc si vous êtes incapables chères chèvres, pliez bagages et dégagez. C’est aussi simple !
Mardi ne sera guère une simple journée pour nous du fait que l’adversaire n’est pas une simple formalité. Il s’agit bien évidement d’une équipe qui enchante tous les Tunisiens et qui, après un début de saison mitigé, se reprend dans son championnat de la plus belle des manière après s’être débarrassé de… Aït Djoudi, et ne compte guère laisser filer une occasion pareille, celle de jouer face à des marionnettes (joueurs et non le club) pour garnir son musée.
Tenons nos ventre et attendons le verdict après de fatidiques 90 minutes.
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